🇫🇷 On disait l’aviation commerciale en sursis 

La crise pandémique avait mis au sol près de ¾ des avions sur la planète. Les écoles de formation de pilotes étaient au plus mal. Sans compter qu’il était devenu critiquable écologiquement de prendre l’avion. A cela se rajoutait que la pollution plus le bruit généré par ces paquebots du ciel étaient soumis à contestations. Plus rien n’allait dans le monde de l’aérien jusqu’aux propos de certains politiques sur le fait qu’un enfant ne devait plus rêver des airs. Les plus optimistes parlaient d’un retour à la normale pas avant les années 2026/2030. Fort heureusement les oiseaux de mauvaise augure se sont trompés et on estime actuellement un besoin de 6000 pilotes dans le monde. L’activité sur les aéroports est repassée à la quasi fréquentation d’avant 2019. Plus les compagnies et les fabricants ont compris l’urgence d’utiliser de nouveaux carburants, moins polluants. La France, 2è nation au monde dans le domaine aéronautique, derrière les Etats-Unis et devant la Chine reste dans la course pour l’avenir.

🇬🇧 Commercial aviation was said to be on borrowed time 

The pandemic crisis had grounded nearly ¾ of the world’s aircraft. Pilot training schools were in a bad way. Not to mention that it had become ecologically questionable to fly. In addition, the pollution and noise generated by these airliners were being contested. Nothing was going well in the world of air travel anymore, even some politicians said that children should not dream of flying anymore. The most optimistic spoke of a return to normalcy not before the years 2026/2030. Fortunately, the birds of ill omen were wrong and it is estimated that there is a need for 6000 pilots worldwide. Airport activity has returned to pre-2019 levels. Moreover, companies and manufacturers have understood the urgency to use new fuels, less polluting. France, 2nd nation in the world in the field of aeronautics, behind the United States and in front of China, remains in the race for the future.