📰 Le stress est mauvais conseiller

13 Juin 2023

đŸ‡«đŸ‡· Le stress est mauvais conseiller

Dans un certain nombre de bars dans les aĂ©roclubs on voit souvent cette maxime “il vaut mieux regretter d’ĂȘtre au sol que d’ĂȘtre en l’air”. Bien souvent Ă  l’approche du vol, on se demande si la mĂ©tĂ©o sera bonne, si les passagers seront Ă  la hauteur, si le pilote est au sommet de sa forme. Bref un certain nombre de questions importantes qui vont se montrer essentielles lorsqu’en vol vous allez rencontrer une situation imprĂ©vue. Le stress est donc mauvais conseiller car il vous fera commettre de grosses erreurs qui pourraient se terminer tragiquement. Il en va de mĂȘme pour l’organisation d’un Ă©vĂ©nement. Inutile de stresser, on demande de votre part une parfaite maĂźtrise de la situation. D’ĂȘtre Ă  la hauteur de la tĂąche. À partir du moment oĂč votre rĂ©tro planning est parfaitement identifiĂ©, que vous avez respectĂ© toutes les phases, rien ne doit arriver. Sauf que bien souvent un vol, c’est comme l’évĂ©nementiel, 30% de certitudes et 70% d’imprĂ©vus. Donc il vaut mieux avoir Ă©vacuĂ© le stress pour rĂ©agir parfaitement et s’adapter Ă  la situation. Facile Ă  dire, moins facile Ă  faire. Et comme on dit dans la marine lorsque l’on veut virer de bord face au vent “à dieu vat”. 


🇬🇧 Stress is a bad advisor

In a number of flying club bars, we often see the maxim « it’s better to regret being on the ground than in the air ». As the flight approaches, we often wonder whether the weather will be good, whether the passengers will be up to the task, whether the pilot is in top form. In short, a number of important questions that will prove essential when you encounter an unforeseen situation during the flight. Stress is therefore a bad advisor, as it can make you make big mistakes that could end tragically. The same goes for organizing an event. There’s no need to stress: you’re expected to master the situation perfectly. To be up to the task. As soon as your back-planning is perfectly identified, and you’ve respected all the phases, nothing should happen. Except that, very often, a flight is like an event: 30% certainties and 70% unforeseen events. So it’s better to have relieved the stress so you can react perfectly and adapt to the situation. Easy to say, not so easy to do. And as they say in the navy when you want to tack into the wind, « come hell or high-water ».

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